Un timide rang de soleil traversa la fenêtre du bureau de Phil Voyance, réchauffant la bague de ses nuances dorées. C’était le troisième journée de la semaine, et déjà, les consultations de voyance par sms battaient leur rempli. Phil s’étira, les muscles encore endoloris par une courte nuit, puis s’installa sur son fauteuil. Il contempla un moment le tumulte sur son bureau : une tasse de thé à bien moitié vide, quatre ou cinq cristaux dispersés, et particulièrement ce divertissement de tarot qui ne le quittait jamais. Il se prépara mentalement, car la veille avait laissé piller une inquiétude : ce mystérieux destinataire qui se sentait menacé. Allait-il rédiger de ses nouvelles ? La première salve de messages a été plus légère. Une certaine Claire, professeur d’anglais, s’interrogeait sur l’opportunité de solliciter une mutation à bien l’étranger. Phil, en classant les cartes bleu, y vit un voyage positif, une expansion tant sur le plan exercice professionnel que d'individualité. Il répondit avec enthousiasme : « Claire, je ressens que cette mutation pourrait élargir vos horizons et vous offrir l’épanouissement que vous avez envie. Ne laissez pas la crainte de l’inconnu vous mesurer. Si vous en avez l'opportunité, saisissez cette chance. » Un autre signal, signé par un espèce humaine appelé Rachid, portait sur un hérédité familial qui créait des tensions dans sa fratrie. Rachid demandait si le cas allait se nuancer et si sa part de l’héritage serait respectée. Phil observa les arcanes du Jugement et de la Justice qui se détachaient au nombre des cartes : un signe que le différend est en capacité de se trouver une solution à de manière neutre, mais pas sans efforts de communication. Il répondit : « Rachid, je vois des disputes intenses, mais je perçois en plus une issue rapide pour tous. Restez ouvert au dialogue et ne laissez pas l’amertume vous palper. Il y a une façon d’apaiser les rancœurs si chacun fait un pas vers l’autre. » En arpatant les multiples textos reçus, Phil remarqua combien la voyance par sms était devenue pour trop un exutoire. Les population se confiaient fidèlement, déclarant des pans entiers par leur tenue, relativement souvent en neuf ou 10 formes à bien tribulations, certaines fois en longs paragraphes détaillés. Il se sentait honoré de cette premier ordre, mais aussi conscient de la charge sociale qui pesait sur ses épaules. Chaque mot comptait, chaque critique pouvait faire changer la faisceau d’une existence. Cette banalité l’incitait à redoubler de prudence et de sincérité. Vers midi, il trouva une information inattendu : « Bonjour, je m’appelle Margot. J’ai entendu expliquer que tu pouvais faire savoir avec ceux disparues. J’aimerais savoir si mon pépé, parti il existe deux mois, a un message à me propager. » Phil inspira généreusement. C’était un domaine charmant. Il ne se présentait pas par exemple médium spécialiste de la communication avec les défunts, faisant le choix citer subis, d’énergies ou d'éléments. Cependant, il se sentait capable de détecter des énergies dues aux êtres à la mode disparus. Doucement, il posa sa majeur sur son tarot et ferma les yeux. Une chaleur singulière l’envahit, suivie d’une parabole mentale : un être humain souriant appelées à un champ de tournesols. Il rédigea alors : « Margot, je ressens joliment d’affection et d'harmonie arrivant de votre papi. Il apparaît opter pour vous expliquer que vous n’êtes pas seule, et qu’il vous encourage à prolonger vos ambitions. Cette caricature de tournesols me arrive, signe de plaisir et de vertu. Prenez cela comme un symbole de protection. » L’après-midi se déroula par-dessous un ciel remuant, parcourant du bleu limpide à bien des nuages gris. Les signaux continuaient d’affluer, certains n’étant que des remerciements pour les justifications précédentes, d’autres provoquant les naissantes test1. Phil laissait commode fil à bien son intuition, se fiant aux carte bleu et aux pensées inspirées qui l’habitaient. Parfois, un léger frisson lui parcourait l’échine lorsqu’il devinait une copie riche de l’autre côté du téléphone, souvent un sourire se dessinait sur ses lèvres en percevant le bonheur raisonnable de ce qui voyaient leurs pensées s'exprimer. En fin d’après-midi, un neuf SMS apparut, en provenance de la même individu anonyme inquiète des journées précédents. Le contenu disait : « Je suis allé concevoir la police, mais ils n’ont rien pu provoquer sans preuve concrète. Je dors mauvaise humeur, je fais des cauchemars. Peux-tu me présenter si je me trouve en compétition ou si je deviens parano ? » Phil sentit son cœur se lutter. Il prit une longue minute premier plan de répondre, sachant que ses informations auraient la envie de asphyxier lourd sur l’état émotionnel de son récepteur. Il tira deux cartes bleues qui semblaient se contredire : la Lune, encore dans, marque identitaire d’illusions, de phobies et parfois de fantasmes, et la Tour, qui annonçait un apocalypse violent et empêchement. Il écrivit donc : « Je ressens une tension beaucoup forte. Il se peut que vos angoisses soient nourries par un traumatisme passé et que tout prenne des proportions inquiétantes. Néanmoins, ne vous négligez pas. Cherchez du assistance à l'intention d’un correspondant sérieuse, et même encore d’un psychologue, pour dénouer ce qui est réel de ce qui ne l’est pas. Et si vous estimez qu’il est fabriqué avec un essai imminent, n’hésitez pas à contacter les pouvoirs à bien neuf. Votre sécurité passe au préalable. » Cette résultat laissa Phil songeur. La voyance par sms pouvait affirmer des informations, mais elle avait ses bornes. Il espérait de tout son cœur que cette personne est en capacité de définir l'apaisement, ou Phil voyance à tout le moins un accompagnement approprié. Parfois, la détresse de l'homme se cachait coccyxes quelques mots textes à bien la agitation, et il fallait déchiffrer entre les formes pour percevoir la gravité d’une état. Il s'aperçut à ce moment-là qu’il voulait correctement améliorer ses bagages en psychologie, ceci dans le but de mieux cerner les maladies de celle qui s’adressaient à bien lui. La journée s’acheva avec un message plus léger, natif d’une jeune femme nommée Delphine, qui disait : « Coucou Phil ! Je suis invitée à un grand baptême ce week-end, et j’ai le frousse. Est-ce que tu vois ça bien se passer ? » Phil sourit, presque soulagé de terminer sur une tonalité favorable. Il tira le Soleil et l’Étoile, deux cartes bleus particulièrement subtiles qui annonçaient la puzzle et le charme du sort. « Delphine, zéro émoi numéro 1, répondit-il. Vous allez rayonner. Ce week-end sera l’occasion pour vous de étinceler et de fabriquer des liens précieux. Ayez haut niveau en vous. » Après cette à avoir consultation, Phil éteignit son téléphone et sortit s’installer sur sa terrasse, un plaid sur les épaules pour se précautionner de la fraîcheur du soir. Il observa la lune lier des étoiles, comme un œil blanc veillant sur le univers endormi. De ses évènements déjà bien remplies, il tirait une impression mêlé de fierté et de gravité. Fierté, parce qu’il sentait que ses bagages de voyance aidaient indubitablement des individus en quête de repères. Gravité, parce qu’il percevait à qu'est-ce que pas la danger et l’incertitude avaient l'occasion de s’immiscer dans les années les plus ordinaires. Il se promit donc de ne jamais pessimiste de constatée la grâce et l’humilité. La voyance par sms n’était pas un dégagé concours, mais une passerelle financier, un fil ténu réunissant des destins généralement isolés. Dans le silence de l'obscurité, le bourdonnement du macrocosme continuait, et Phil était prêt à bien en écouter la moindre énergie.